RB3D a été fondée en 2001 par Serge Grygorowicz, son PDG actuel, avec pour projet la conception et la fabrication de préhenseurs électriques. RB3D est un concepteur et fabricant français d’outils bio-mécatroniques (cobots et d’exosquelettes) basé à Auxerre. Aujourd’hui, c’est bien plus que cela ! En 2008, la Direction Générale de l’Armement Français a financé, via le dispositif RAPID, la PME RB3D pour créer un exosquelette militaire permettant aux troupes à pied de porter des charges lourdes pendant de longue durée.
Création
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emplois en France
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effectifs en R & D
RB3D et Colas s’associent afin de mettre en place des cobots et exosquelettes d’assistance aux efforts dans l’industrie. Colas déploie notamment ces technologies auprès de ses collaborateurs, afin de les aider dans leurs tâches quotidiennes. Cette collaboration est d’un quadruple avantage : Le premier, c’est l’aide à la spécification du produit car son succès passe […]
> En savoir plusRB3D est l’un des grands espoirs de la robotique en France. Présent au salon Innorobo qui a ouvert ses portes ce mardi 16 mai aux Dock de Paris, RB3D fait découvrir deux nouveaux produits baptisés EXOBACK et EXOPUSH. D’abord il y a EXOBACK, des jambes téléscopiques compactes qui permettent de porter, sur le dos, de […]
> En savoir plusPoint.P s’est rapproché de RB3D pour mettre au point un exosquelette – l’Exo-Up – destiné à ses manutentionnaires. Il s’adapte à toutes les morphologies et devrait être opérationnel à la fin de l’année.
> En savoir plusL’émission, consacrée à l’excellence française dans le domaine de la robotique, donne la parole à cette entreprise Auxerroise, qui fabrique des Exosquelettes destinés à être au service de l’homme et non à la place de l’homme.
> En savoir plusLe site www.tracesecritesnews.fr retrace l’historique de RB3D, son activité et explique comment l’entreprise conceptrice d’exosquelettes et de machines poly-articulées (cobots), change de dimension en sortant de la pépinière d’Auxerre (Yonne).
RB3D intègrera en effet un nouveau site d’ici à quelques semaines pour industrialiser l’an prochain, le fruit de ses recherches, engagées il y a quinze ans.
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