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Mécénat

Soutien

INOCAP Gestion est engagé depuis 2007 dans l’accompagnement d’une économie productive et durable. Les équipes travaillent activement sur les performances sociales et environnementales que ce soit dans nos pratiques internes mais aussi au sein de nos investissements. Cet engagement s’est traduit par l’obtention du label ISR pour l’ensemble de notre gamme action France et Europe.
Les équipes d’INOCAP Gestion prolongent ces démarches ESG par des actions au quotidien et un engagement fort auprès de fondations et associations à vocation sociale ou culturelle ou encore par le soutien de la jeune scène artistique contemporaine française.
Notre objectif est que ces initiatives locales, en région, ces énergies, cette créativité puissent contribuer à développer de la durabilité dans les liens unissant les communautés.

Notre action de mécénat social et culturel

C’est ce que nous accomplissons dans notre gestion extra-financière, mais c’est aussi le sens de notre action au quotidien au travers du mécénat que nous apportons à des projets et des fondations qui contribuent à un monde plus durable, où l’expression artistique, le dialogue interculturel et la solidarité sont de mise. Depuis sa création INOCAP Gestion s’engage sur 2 axes principaux que sont le mécénat culturel et le mécénat social. En 2021 nous nous engageons auprès de :

Depuis 2012, INOCAP Gestion soutient la jeune scène artistique contemporaine française, ainsi que les démarches artistiques dans leur pluralité. INOCAP Gestion va à la rencontre des artistes dans leurs ateliers et enrichit sa collection chaque semestre avec une nouvelle acquisition. C’est en respectant une diversification parfaite entre les médiums et les origines des artistes qu’INOCAP Gestion est fier de présenter sa collection.
Après avoir participé au lancement du festival d’art contemporain «Bienvenue» en 2018 et 2019, INOCAP Gestion est heureux de soutenir « Photo Days ».

La collection INOCAP Gestion en quelques dates

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Entrée dans la collection en 2023

Laurent Lafolie, 1956.30, plaques d’acier émaillé, 111 x 95 cm 

La série 1956 provient d’une archive épargnée de la déchetterie et confiée à Laurent Lafolie il y a près de 15 ans, une boîte de négatifs de deux cents portraits d’identité réalisé s en 1956 par la photographe Colette Defives qui exerça son métier dans le nord de la France. Pour ce moment qui reste exceptionnel dans le milieu des années 50, le commanditaire du portrait se présente au rendez-vous sous ses meilleurs atours. Cet ensemble est représentatif d’une communauté vernaculaire et d’une époque, les attributs esthétiques et vestimentaires traduisant une appartenance à une classe sociale.

Entrée dans la collection en 2023

Matthieu Boucherit, Déplacements, 2017-2020, Acrylique sur toile

Dans une chorégraphie de gestes et une théâtralisation millimétrée, des jeunes hommes se contorsionnent et flottent dans un espace qui paraît sans pesanteur ni gravité. Entreposées temporairement au sol, les toiles se tournent et se retournent, se déplacent à la guise du spectateur, tandis que les performeurs s’adaptent, se plient, se renversent, effectuent des rotations. Tels des danseurs, ils offrent un spectacle vivant qui instaure, à l’instar du break en musique, un moment de pause : tous les éléments d’une chanson, des voix aux basses, à l’exception des percussions, disparaissent. Sans contexte ni horizon, les corps se font l’écho de cette vibration, comme un rythme sourd et profond qui déborde du cadre et invite au horschamp, à une autre histoire du déplacement.

Entrée dans la collection en 2023

Coraline De Chiara, Le Mont Analogue, 2022, Huile sur toile, 30 x 30 cm

Entrée dans la collection en 2023

Coraline De Chiara, Triangle de Karpman, 2022, Huile sur toile, 46 x 33 cm

Entrée dans la collection en 2023

Smith Bogdan, Photographie Smith Paris Contralto, 2022

Entrée dans la collection en 2023

Hugo Capron – Feu d’artifice (vague) – 2022 – Huile sur toile – 170 x 150 cm

Premier opus résultant des recherches d’Hugo Capron à la Villa Kujoyama en 2019, cette série de feux d’artifices s’inscrit dans la continuité de ses précédents travaux consacrés à l’exploration des modes opératoires et compositionnels de la peinture. En conjuguant des ornements pyrotechniques extraits de catalogues japonais du début du XXe siècle avec des motifs d’explosions issus de trames autocollantes pour mangas, l’artiste duplique des formes stéréotypées sur la toile et neutralise son implication dans l’invention et l’agencement des éléments.

Entrée dans la collection en 2022

Alexandre Carin – Liquéfaction XXVII – Huile sur toile – 91 x 107 cm

Alexandre Carin a d’abord suivi une voie scientifique, puis a fait de la philosophie, pour continuer avec l’écriture et la traduction littéraire (Denoël, Actes Sud, poésies…).
Le dessin et la peinture à l’huile ont été pour lui une rencontre fulgurante. Une nécessité pour avancer dans ses recherches sur la lumière et le temps.

Entrée dans la collection en 2022

Julie Susset – Selva  2022 – Acrylique sur toile – 162 x 130 cm

Après une exploration et une évasion dans ses jungles imaginaires, Julie Susset a ressenti le besoin de faire le vide, de s’alléger. Dans cette nouvelle série de toiles, l’artiste se rapproche du motif et réintègre un sujet, non au sens d’une proposition mais plutôt de formes. C’est un sujet à l’état de trace, qui veut refaire surface, ce qui ouvre une nouvelle recherche sur son approche de la composition. Du côté des couleurs, la palette s’enrichit, se renouvèle : terres, jaunes, ocres, bruns, et blancs viennent s’ajouter aux couleurs habituelles de l’artiste. Les toiles comme autant d’instruments, se répondent et jouent ensemble sur le tempo du vivant, dans une unité de corps et d’âme.

Entrée dans la collection en 2022

Alain Josseau – Les Géographes n°27 2012 – Aquarelle sur papier – 77 x 107 cm

La série des géographes débutée en 2001 et qui se poursuit encore aujourd’hui est une suite dessins à l’encre aquarelle qui représente des politiques, des militaires observant, pointant, tenant des cartes géographiques, ou devant des “sand table”, assistant à des cours de tactique là aussi devant des cartes ou jouant à des jeux de société de stratégie tel que “Risk”. Ces images sont aussi un écho aux aquarellistes militaires du 19ème siècle et une résonance aux règles établies par Martinel (chef du  bureau topographique des champs de bataille du Piémont d’alors), qui écrivit un guide à l’usage des officiers devant contrôler les peintres dans leur travail de représentation d’une bataille.

Entrée dans la collection en 2022

Raphaël Dallaporta – Lune, Astrarium Dondi,  – 2020 – Tirage par sublimation, monté et encadré 81 x 70 cm

Les œuvres de la série Astrarium (2020) constituent une métaphore du caractère non linéaire de l’avancée du progrès. Chaque photographie résulte de la mise en mouvement d’un cadran de l’Astrarium, la plus ancienne horloge connue dans l’histoire, réalisée au Moyen Âge par Giovanni Dondi et qui disparut à la Renaissance. Cet instrument relevait l’exploit, en matérialisant le système géocentrique, de calculer les positions à tout moment de l’année des sept grands astres alors connus de la science. Au milieu des années 1980, le Musée International d’Horlogerie (MIH, La Chaux-de-Fonds, Suisse) parvenait à reproduire l’horloge grâce au manuscrit original de Dondi préservé depuis six siècles à Padoue. En créant des images en mouvement de cette horloge considérée en son temps comme une merveille du monde, Raphaël Dallaporta en réalise une nouvelle représentation.

Entrée dans la collection en 2022

Mishka Henner – Ellsworth Kelly’s High Yellow, 1960 – série “Sight Seeing” – 2021 –Boîte découpée au laser abritant un tirage pigmentaire monté sur dibond 70 x 50 x 5 cm

Avec Sight Seeing, Mishka Henner poursuit son questionnement de la nature de la paternité de l’œuvre d’art et se concentre sur son propre regard en utilisant un logiciel d’oculométrie, autrement appelé « eye-tracking », pour suivre le mouvement de ses yeux sur une image trouvée de High Yellow du peintre américain Ellsworth Kelly (1923 – 2015).

Entrée dans la collection en 2022

Nicolas Chardon – CASE – 2022 – Acrylique sur tissu – 100 x 100 cm – Unique

“Le lieu de ma peinture est le tableau. Mon travail se fonde d’abord sur l’observation de ce qui le constitue matériellement ; le châssis et la toile fixée dessus. Mais cette toile est particulière. En effet, mes supports sont des tissus vichy, madras ou écossais, autant de canvas orthogonaux colorés. La grille du motif de mes toiles, déformée par la tension, est à la fois une expression physique élémentaire et une image particulière. Quelque chose se joue là, entre le fait matériel et le fait iconique. Paradoxalement, la déformation de la grille est la preuve que la toile est bien tendue, qu’elle offre ainsi la surface plane idéale à la réalisation d’un tableau. Ma peinture commence à ce moment-là.”

Entrée dans la collection en 2021

Costanza Gastaldi – Loto Nero – 2021 – photographie tirée de la plaque de l’héliogravure au grain – 58 x 42 cm

La technique de l’héliogravure au grain rend les montagnes de Huangshan presque irréelles et invite à s’interroger sur le potentiel infini du medium photographique.

Entrée dans la collection en 2021

Léo Dorfner – We’re living in a Social Network – 2021 – Aquarelle sur papier – 150 x 110 cm

Léo Dorfner ouvre une infinité de portes sur un univers quotidien d’où il puise ses références. C’est en transposant la photographie sur papier au pinceau ou au stylo, que l’artiste restitue son microcosme.

Entrée dans la collection en 2021

Arnout Visser – Basket 11 – 2019 – Verre soufflé, osier, nitrate d’argent – H61 cm

Arnout Visser s’inspire du moulage à la cire perdue, qu’il nomme “panier perdu”.
Le verre est chauffé à 700 degrés et devient suffisamment malléable pour remplir les entrelacs d’un panier en osier.

Entrée dans la collection en 2021

Johan Viladrich – Stack Shelf  – 2021 – 15 casiers en aluminium brossés – 30 x 35 x 187,5cm

Stack Shelf est un objet absolu. Il existe par lui-même sans style, design ou référent.

Entrée dans la collection en 2021

Hélène Padoux – Despite our good intentions – 2020 – Encre acrylique polyester sur toile – 50 x 40cm

Un rêve fiévreux de séduction mignonne entrelacée de menaces de toxicité.

 

Entrée dans la collection en 2021

Petros Moris – Arrow V Marble – 2020 – Marbre – 140 x 140 x 2cm

Les formes de flèches disponibles en ligne utilisés dans des contextes éducatifs, scientifiques ou d’entreprise sont inscrites sur des plaques de marbre sous forme d’incrustations découpées au jet d’eau CNC, dans lesquelles les formes découpées et leurs positions sont inversées avant d’être à nouveau fixées sur la surface de marbre.

La nature abstraite et multiforme du signe de la flèche intensifie la structure physique et l’origine métamorphique du marbre, ce qui rend visible en profondeur les processus de transformations géologiques  et la décomposition entropique manifestée dans l’utilisation de la pierre dans les ruines antiques et les environnements urbains.

Entrée dans la collection en 2021

Daniel Blaufuks – Perpetual Camera – 2020 – Texte dépoli sur miroir circulaire – diamètre: 100 cm

L’artiste remet en cause le comportement des visiteurs qui prennent inévitablement des photos d’eux-mêmes devant des “miroirs”.

Entrée dans la collection en 2020

Anais Tondeur – 487 nm ou l’état chromatique de la mer – 2020 – Photographie – 100 x 70cm

Cette photographie est issue d’une série au long cours qui invite à observer l’influence du déplacement du phytoplancton sur la palette même des couleurs de la Manche.

Entrée dans la collection en 2020

Florence Obrecht – Faire des Picasso (Camilla-Thérèse) – 2019 – Huile sur bois – 30 x 24cm

Ici, il n’est pas question d’assignations, pas de soumission à un regard, pas de passivité dans la pose ou le regard, pas de contrainte, pas d’oppression.

Entrée dans la collection en 2020

Petros Moris – Future Bestiary (Bull) – 2020 – Sculpture (marbre, acier, autocollants) – 65 x 55 x 30cm

Des formes d’artefacts archéologiques représentant un taureau apotropaïque sont reconstituées dans du marbre provenant de carrières autour de la Grèce. Liés aux instances symboliques et physiques de l’espace souterrain, de la transformation et de l’entropie, ces corps tectoniques sont rejoints par des signes linguistiques et des images numériques qui encodent des spéculations pieux et des angoisses émergentes sur les écosystèmes naturels, la souveraineté algorithmique et les changements socio-politique.

Entrée dans la collection en 2020

Enzo Certa – Peinture Dominicale 2 – 2020 – Huile sur toile – 116 x 89cm

Toujours en étroite complicité avec la couleur-énergie, la composition semble célébrer un épisode tout à la fois marquant et nébuleux.

Entrée dans la collection en 2019

Élodie Lesourd – Inner (Black Metal) – 2008 – Peinture polyuréthane sur acier – 100 x 170cm

Elodie Lesourd a superposé les logos de quatre groupes de musique « métal » norvégiens.
Elle a effacé  les parties qui n’étaient pas communes. Elle créée ainsi une sorte de non logo, une tache où chacun peut y projeter ce qu’il souhaite.

Entrée dans la collection en 2019

Neil Lang – Horizon N°8 – 2018 – Tirage jet d’encre  – 95 x 40cm

L’horizon et l’Homme ne font qu’un. Représentant la vie passée, présente et future, l’horizon devient alors celui de nos vies changeantes. Ce lieu singulier de partage entre ciel et terre est à la fois identique et toujours différent.

Entrée dans la collection en 2019

Coraline De Chiara – Napalm love – 2019 – Huile sur toile – 55 x 60cm

« Le passage du temps soustrait immanquablement des éléments ».

Entrée dans la collection en 2018

K-Narf – Projet Hatarakimono N°028 – 2018 – Photographie – 170 x 95cm

Le Project Hatarakimono témoigne d’un ébranlement du monde du travail et immortalise des métiers voués à disparaître dans un Japon tourné vers l’avenir.

Entrée dans la collection en 2018

Valentin Dommanget – IRL VS IG N4 – 2017 – Tirage lenticulaire – 84 x 60cm

L’artiste représente les communautés en ligne via une base de donnée de screenshot fournie par un ami avec qui il a gardé contacte grâce à internet.

Entrée dans la collection en 2018

Antoine Coste – Quadrige Rendement – 2018 – Huile sur toile – 38 x 45cm

Le jeune artiste de rue réinterprète les visuels de la gamme Quadrige. Le travail a été décliné pour l’ensemble de la gamme.

Entrée dans la collection en 2018

Carline Bourdelas – L’inconnue – 2018 – Print montage sur Diasec – 100 x 150 x 6cm 

L’inconnue est l’une des photos de la série Divine portant sur la question des femmes. Seraient-elles hors de l’histoire et sans action sur les évènements, dépendantes et dépourvues de pouvoir ?

Entrée dans la collection en 2017

Dennis Rudolph – Paradise Lost – 2013 – Lithographie sur papier encadrée sous verre – 100 x 70cm

Il y a huit ans, je cherchais un nouveau support pour réaliser ce projet, Das Portal, dans le désert de Mojave en Californie. Mes réflexions m’ont guidé vers la réalité augmentée, mais les motifs du baroque que je reprends aujourd’hui étaient déjà présents dans cette impression expérimentale offset. Le titre peut ainsi aussi se lire rétrospectivement comme un adieu au médium artistique des techniques d’impression analogique du XXe siècle.

Dennis Rudolph – 12 août 2021

Entrée dans la collection en 2017

Laurent Pernot – When a smile burns – 2016 – Encre sur toile – 163 x 174cm

L’œuvre présentée gravite autour d’un questionnement sur le temps et le vivant. Comme Lucrèce et les vertus du miel poétique dont il use pour exposer sa philosophie, et chez lequel on retrouve presque tous les ingrédients de la science et de la philosophie contemporaines, Laurent Pernot se plaît à concevoir des pièces en apparence précaires et séduisantes pour aborder des thèmes complexes.

Entrée dans la collection en 2017

Julien Beneyton – L’Œil du Tigre – 2017 – Peinture acrylique sur toile – 224 x 370cm

Passionné par Rocky III, il rencontre le boxeur Jean-Marc Mormeck en 2013 et entame depuis une collaboration artistique : « L’ Œil du Tigre ».

Entrée dans la collection en 2016

Jonas Wijtenburg – Osmosis #1 – 2015 – Iroco, formica, peinture acrylique, photo transfère, aluminium, acier – 100 x 86 x 35cm

L’artiste apporte une nouvelle manière de penser sur le concept d’espace et de construction avec des profils modulables. A l’inverse, Doryphore de Polyclète nous ramène vers l’harmonie, au fondement de la sculpture.

Entrée dans la collection en 2016

Jeroen Frateur – Paysage avec Parapluie… – 2015 – Fer, bois, matériaux divers – 100 x 90 x 17cm

Un statut qui hésite entre sculpture et installation.

Entrée dans la collection en 2015

Mayat Rochat – Man in a cave – 2015 – Ink jet sur papier matte monté sur dibond aluminium – 150 x 110cm

Le récit linéaire de la photographie se brise sous la pression de la peinture en aérosol. C’est la création par destruction.
Cachant la lecture immédiate, l’artiste offre l’inconnu.

Entrée dans la collection en 2015

Maya Rochat – Board Floatty Painting – 2019 – Pain de mousse, résine époxy – 177 x 50,5cm 

Chez l’artiste, l’élaboration de la forme part de la prise de conscience du changement actuel de la matière du monde qui est en train de changer.

Entrée dans la collection en 2014

Élodie Lesourd – Dodsreligionen – 2007 – Peinture sur bois (MDF) – 102 x 152cm

L’artiste recherche des vues d’installations faisant référence à la culture rock et demande à leurs auteurs l’autorisation de reproduire ces images.
On se trouve là au croisement de deux champs sémantiques, impliquant des pratiques à la popularité divergente : la reprise dans le domaine musical et l’appropriation dans le cadre des arts plastiques. Si l’une est admise, l’autre reste mal comprise.

Entrée dans la collection en 2014

Valentin Dommanget – Digital Stretcher Studies X9 – 2015 – Spray acrylique, solution chimique sur toile, structure bois – 74 x 113 x 10cm

La technique de surface est inspirée du Suminagashi (technique ancestrale japonaise de papier marbré) et la forme résulte d’expérimentations digitales sur un logiciel de 3D.
L’artiste va au-delà de la question de la déconstruction des éléments constitutifs de la peinture. Il créé une toile « augmentée ».

Entrée dans la collection en 2012

Julien Beneyton – Sweating Losers – 2010 – Cinq peintures acryliques sur t-shirts

Portraits d’artistes, propriétaires des T-shirt, supportant leurs équipes respectives durant la Coupe du Monde de football en 2010.

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Avec « Photo Days », on passe de la photographie historique à la jeune création française et internationale, de l’engagement féministe au voyage intérieur, de la photographie documentaire à la photographie plasticienne en passant par la mode, le nu ou le paysage, d’un monde absurde bien réel à un monde poétique rêvé. D’expositions collectives en monographies, de foires en rencontres, «Photo Days» vous emmène d’une rive à l’autre de la Seine et vous guide dans Paris.

La création de festival artistique est une chose rare et qu’il convient d’encourager. « Photo Days » a une démarche ambitieuse qui permet de créer une totale immersion dans des lieux et des œuvres, accompagné par des professionnels de la photo que sont les galeristes et les équipes de « Photo Days ». INOCAP Gestion est heureux de soutenir à nouveau cette démarche pour la troisième année.

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