L’espress titre « Pépite à suivre : Kalray réinvente le processeur »
Société Karlray
Kalray a mis au point une nouvelle génération de processeurs en silicium destinés aux centres de données et à l’automobile.Kalray entend, grâce à ses processeurs, se faire une place sur le marché des véhicules autonomes, aux cotés de géants comme Nvidia.
Basés sur une architecture massivement parallèle, ils offrent un excellent rapport performance de calcul/consommation énergétique (gigaflops/watt). Doté de 288 cœurs, un processeur de Kalray propose une très grande capacité de calcul, tout en fonctionnement à basse fréquence (environ 600 mégahertz). Ce qui autorise une faible consommation d’énergie. « Notre processeur consomme entre 10 et 20 watts selon son utilisation », précise Stéphane Cordova, directeur du département technologies embarquées.
L’entreprise s’adresse à deux marchés distincts. D’abord celui des centres de données pour des solutions de stockage, de mise en réseau et d’offloading, qui consiste à décharger une partie du trafic des données des utilisateurs d’un réseau mobile sur un réseau filaire. Le second marché est celui de l’embarqué critique. Il concerne essentiellement les secteurs aéronautique, ferroviaire et militaire, qui nécessitent énormément de calculs avec une exécution des tâches dans un temps limité.
Sur ce second marché, Kalray entend également se faire une place dans le secteur très porteur des véhicules autonomes. Son processeur pourrait notamment être utilisé pour des fonctions de fusion de données issues des différents capteurs du véhicule, mais aussi pour faire tourner des algorithmes de deep learning. La jeune pousse devrait ainsi dévoiler un partenariat majeur dans le monde de l’automobile d’ici la fin de l’année. « A ma connaissance, nous sommes les seuls Français à proposer un processeur pour le véhicule autonome », indique Andrea Busch, en charge de la communication chez Kalray. Sur ce secteur, la pépite francilienne entend donc se faire une place aux côtés de géants, comme l’américain Nvidia. Elle entend notamment tirer son épingle du jeu grâce à son architecture compatible avec les questions de sûreté de fonctionnement. « D’abord, notre architecture est compatible avec les contraintes du temps réel critique. Ensuite, notre processeur est constitué de 16 clusters, chacun composé de 16 petits processeurs. Tous les clusters sont reliés par un réseau sur puce. Cela nous permet de faire tourner plusieurs types d’applications en même temps », détaille Stéphane CordovaBasés sur une architecture massivement parallèle, ils offrent un excellent rapport performance de calcul/consommation énergétique (gigaflops/watt). Doté de 288 cœurs, un processeur de Kalray propose une très grande capacité de calcul, tout en fonctionnement à basse fréquence (environ 600 mégahertz). Ce qui autorise une faible consommation d’énergie. « Notre processeur consomme entre 10 et 20 watts selon son utilisation », précise Stéphane Cordova, directeur du département technologies embarquées.
L’entreprise s’adresse à deux marchés distincts. D’abord celui des centres de données pour des solutions de stockage, de mise en réseau et d’offloading, qui consiste à décharger une partie du trafic des données des utilisateurs d’un réseau mobile sur un réseau filaire. Le second marché est celui de l’embarqué critique. Il concerne essentiellement les secteurs aéronautique, ferroviaire et militaire, qui nécessitent énormément de calculs avec une exécution des tâches dans un temps limité.
Sur ce second marché, Kalray entend également se faire une place dans le secteur très porteur des véhicules autonomes. Son processeur pourrait notamment être utilisé pour des fonctions de fusion de données issues des différents capteurs du véhicule, mais aussi pour faire tourner des algorithmes de deep learning. La jeune pousse devrait ainsi dévoiler un partenariat majeur dans le monde de l’automobile d’ici la fin de l’année. « A ma connaissance, nous sommes les seuls Français à proposer un processeur pour le véhicule autonome », indique Andrea Busch, en charge de la communication chez Kalray. Sur ce secteur, la pépite francilienne entend donc se faire une place aux côtés de géants, comme l’américain Nvidia. Elle entend notamment tirer son épingle du jeu grâce à son architecture compatible avec les questions de sûreté de fonctionnement. « D’abord, notre architecture est compatible avec les contraintes du temps réel critique. Ensuite, notre processeur est constitué de 16 clusters, chacun composé de 16 petits processeurs. Tous les clusters sont reliés par un réseau sur puce. Cela nous permet de faire tourner plusieurs types d’applications en même temps », détaille Stéphane CordovaBasés sur une architecture massivement parallèle, ils offrent un excellent rapport performance de calcul/consommation énergétique (gigaflops/watt). Doté de 288 cœurs, un processeur de Kalray propose une très grande capacité de calcul, tout en fonctionnement à basse fréquence (environ 600 mégahertz). Ce qui autorise une faible consommation d’énergie. « Notre processeur consomme entre 10 et 20 watts selon son utilisation », précise Stéphane Cordova, directeur du département technologies embarquées.
L’entreprise s’adresse à deux marchés distincts. D’abord celui des centres de données pour des solutions de stockage, de mise en réseau et d’offloading, qui consiste à décharger une partie du trafic des données des utilisateurs d’un réseau mobile sur un réseau filaire. Le second marché est celui de l’embarqué critique. Il concerne essentiellement les secteurs aéronautique, ferroviaire et militaire, qui nécessitent énormément de calculs avec une exécution des tâches dans un temps limité.
Sur ce second marché, Kalray entend également se faire une place dans le secteur très porteur des véhicules autonomes. Son processeur pourrait notamment être utilisé pour des fonctions de fusion de données issues des différents capteurs du véhicule, mais aussi pour faire tourner des algorithmes de deep learning. La jeune pousse devrait ainsi dévoiler un partenariat majeur dans le monde de l’automobile d’ici la fin de l’année. « A ma connaissance, nous sommes les seuls Français à proposer un processeur pour le véhicule autonome », indique Andrea Busch, en charge de la communication chez Kalray. Sur ce secteur, la pépite francilienne entend donc se faire une place aux côtés de géants, comme l’américain Nvidia. Elle entend notamment tirer son épingle du jeu grâce à son architecture compatible avec les questions de sûreté de fonctionnement. « D’abord, notre architecture est compatible avec les contraintes du temps réel critique. Ensuite, notre processeur est constitué de 16 clusters, chacun composé de 16 petits processeurs. Tous les clusters sont reliés par un réseau sur puce. Cela nous permet de faire tourner plusieurs types d’applications en même temps », détaille Stéphane CordovaBasés sur une architecture massivement parallèle, ils offrent un excellent rapport performance de calcul/consommation énergétique (gigaflops/watt). Doté de 288 cœurs, un processeur de Kalray propose une très grande capacité de calcul, tout en fonctionnement à basse fréquence (environ 600 mégahertz). Ce qui autorise une faible consommation d’énergie. « Notre processeur consomme entre 10 et 20 watts selon son utilisation », précise Stéphane Cordova, directeur du département technologies embarquées.
L’entreprise s’adresse à deux marchés distincts. D’abord celui des centres de données pour des solutions de stockage, de mise en réseau et d’offloading, qui consiste à décharger une partie du trafic des données des utilisateurs d’un réseau mobile sur un réseau filaire. Le second marché est celui de l’embarqué critique. Il concerne essentiellement les secteurs aéronautique, ferroviaire et militaire, qui nécessitent énormément de calculs avec une exécution des tâches dans un temps limité.
Sur ce second marché, Kalray entend également se faire une place dans le secteur très porteur des véhicules autonomes. Son processeur pourrait notamment être utilisé pour des fonctions de fusion de données issues des différents capteurs du véhicule, mais aussi pour faire tourner des algorithmes de deep learning. La jeune pousse devrait ainsi dévoiler un partenariat majeur dans le monde de l’automobile d’ici la fin de l’année. « A ma connaissance, nous sommes les seuls Français à proposer un processeur pour le véhicule autonome », indique Andrea Busch, en charge de la communication chez Kalray. Sur ce secteur, la pépite francilienne entend donc se faire une place aux côtés de géants, comme l’américain Nvidia. Elle entend notamment tirer son épingle du jeu grâce à son architecture compatible avec les questions de sûreté de fonctionnement. « D’abord, notre architecture est compatible avec les contraintes du temps réel critique. Ensuite, notre processeur est constitué de 16 clusters, chacun composé de 16 petits processeurs. Tous les clusters sont reliés par un réseau sur puce. Cela nous permet de faire tourner plusieurs types d’applications en même temps », détaille Stéphane CordovaBasés sur une architecture massivement parallèle, ils offrent un excellent rapport performance de calcul/consommation énergétique (gigaflops/watt). Doté de 288 cœurs, un processeur de Kalray propose une très grande capacité de calcul, tout en fonctionnement à basse fréquence (environ 600 mégahertz). Ce qui autorise une faible consommation d’énergie. « Notre processeur consomme entre 10 et 20 watts selon son utilisation », précise Stéphane Cordova, directeur du département technologies embarquées.
L’entreprise s’adresse à deux marchés distincts. D’abord celui des centres de données pour des solutions de stockage, de mise en réseau et d’offloading, qui consiste à décharger une partie du trafic des données des utilisateurs d’un réseau mobile sur un réseau filaire. Le second marché est celui de l’embarqué critique. Il concerne essentiellement les secteurs aéronautique, ferroviaire et militaire, qui nécessitent énormément de calculs avec une exécution des tâches dans un temps limité.
Sur ce second marché, Kalray entend également se faire une place dans le secteur très porteur des véhicules autonomes. Son processeur pourrait notamment être utilisé pour des fonctions de fusion de données issues des différents capteurs du véhicule, mais aussi pour faire tourner des algorithmes de deep learning. La jeune pousse devrait ainsi dévoiler un partenariat majeur dans le monde de l’automobile d’ici la fin de l’année. « A ma connaissance, nous sommes les seuls Français à proposer un processeur pour le véhicule autonome », indique Andrea Busch, en charge de la communication chez Kalray. Sur ce secteur, la pépite francilienne entend donc se faire une place aux côtés de géants, comme l’américain Nvidia. Elle entend notamment tirer son épingle du jeu grâce à son architecture compatible avec les questions de sûreté de fonctionnement. « D’abord, notre architecture est compatible avec les contraintes du temps réel critique. Ensuite, notre processeur est constitué de 16 clusters, chacun composé de 16 petits processeurs. Tous les clusters sont reliés par un réseau sur puce. Cela nous permet de faire tourner plusieurs types d’applications en même temps », détaille Stéphane CordovaBasés sur une architecture massivement parallèle, ils offrent un excellent rapport performance de calcul/consommation énergétique (gigaflops/watt). Doté de 288 cœurs, un processeur de Kalray propose une très grande capacité de calcul, tout en fonctionnement à basse fréquence (environ 600 mégahertz). Ce qui autorise une faible consommation d’énergie. « Notre processeur consomme entre 10 et 20 watts selon son utilisation », précise Stéphane Cordova, directeur du département technologies embarquées.
L’entreprise s’adresse à deux marchés distincts. D’abord celui des centres de données pour des solutions de stockage, de mise en réseau et d’offloading, qui consiste à décharger une partie du trafic des données des utilisateurs d’un réseau mobile sur un réseau filaire. Le second marché est celui de l’embarqué critique. Il concerne essentiellement les secteurs aéronautique, ferroviaire et militaire, qui nécessitent énormément de calculs avec une exécution des tâches dans un temps limité.
Sur ce second marché, Kalray entend également se faire une place dans le secteur très porteur des véhicules autonomes. Son processeur pourrait notamment être utilisé pour des fonctions de fusion de données issues des différents capteurs du véhicule, mais aussi pour faire tourner des algorithmes de deep learning. La jeune pousse devrait ainsi dévoiler un partenariat majeur dans le monde de l’automobile d’ici la fin de l’année. « A ma connaissance, nous sommes les seuls Français à proposer un processeur pour le véhicule autonome », indique Andrea Busch, en charge de la communication chez Kalray. Sur ce secteur, la pépite francilienne entend donc se faire une place aux côtés de géants, comme l’américain Nvidia. Elle entend notamment tirer son épingle du jeu grâce à son architecture compatible avec les questions de sûreté de fonctionnement. « D’abord, notre architecture est compatible avec les contraintes du temps réel critique. Ensuite, notre processeur est constitué de 16 clusters, chacun composé de 16 petits processeurs. Tous les clusters sont reliés par un réseau sur puce. Cela nous permet de faire tourner plusieurs types d’applications en même temps », détaille Stéphane CordovaBasés sur une architecture massivement parallèle, ils offrent un excellent rapport performance de calcul/consommation énergétique (gigaflops/watt). Doté de 288 cœurs, un processeur de Kalray propose une très grande capacité de calcul, tout en fonctionnement à basse fréquence (environ 600 mégahertz). Ce qui autorise une faible consommation d’énergie. « Notre processeur consomme entre 10 et 20 watts selon son utilisation », précise Stéphane Cordova, directeur du département technologies embarquées.
L’entreprise s’adresse à deux marchés distincts. D’abord celui des centres de données pour des solutions de stockage, de mise en réseau et d’offloading, qui consiste à décharger une partie du trafic des données des utilisateurs d’un réseau mobile sur un réseau filaire. Le second marché est celui de l’embarqué critique. Il concerne essentiellement les secteurs aéronautique, ferroviaire et militaire, qui nécessitent énormément de calculs avec une exécution des tâches dans un temps limité.
Sur ce second marché, Kalray entend également se faire une place dans le secteur très porteur des véhicules autonomes. Son processeur pourrait notamment être utilisé pour des fonctions de fusion de données issues des différents capteurs du véhicule, mais aussi pour faire tourner des algorithmes de deep learning. La jeune pousse devrait ainsi dévoiler un partenariat majeur dans le monde de l’automobile d’ici la fin de l’année. « A ma connaissance, nous sommes les seuls Français à proposer un processeur pour le véhicule autonome », indique Andrea Busch, en charge de la communication chez Kalray. Sur ce secteur, la pépite francilienne entend donc se faire une place aux côtés de géants, comme l’américain Nvidia. Elle entend notamment tirer son épingle du jeu grâce à son architecture compatible avec les questions de sûreté de fonctionnement. « D’abord, notre architecture est compatible avec les contraintes du temps réel critique. Ensuite, notre processeur est constitué de 16 clusters, chacun composé de 16 petits processeurs. Tous les clusters sont reliés par un réseau sur puce. Cela nous permet de faire tourner plusieurs types d’applications en même temps », détaille Stéphane Cordova